Comment booster sa confiance en soi malgré les kilos en trop
Ce n’est pas toujours évident de garder le moral et de « penser positif » lorsqu’on a du poids à perdre ! Avoir une silhouette parfaite de mannequin sans effort et à tout âge, ce n’est pas à la portée de tous. Voici cinq « trucs » pour se sentir bien dans sa tête et dans sa peau en toute circonstance, avec ou sans kilos superflus…
1. Le réalisme est la clé de la réussite
Pour favoriser la confiance en soi, rien de mieux que de réussir ce que l’on entreprend. Comment avoir confiance en soi quand on accumule les échecs ? Quand nos initiatives et projets prennent systématiquement une tournure insatisfaisante ? Souvent ce sentiment permanent d’échec ou d’insatisfaction résulte du fait que nous nous fixons ou acceptons des objectifs inaccessibles ou trop ambitieux. Il faut être honnête avec soi-même, oser se regarder en face, connaître ses capacités, ses défauts et surtout ses limites.
Fixez-vous des objectifs réalistes en matière de perte de poids ! Il peut être utile de segmenter vos objectifs en petites étapes intermédiaires. Réussir à les passer chacune est à chaque coup un petit succès de plus qui mènera progressivement à la réalisation de l’objectif que vous vous êtes fixé, à condition de rester dans les limites du raisonnable. Évaluez de manière précise les raisons de vos échecs passés. Sans apitoiement ni désespoir. Vous ne pourrez que vous améliorer et mieux réussir à l’avenir…
2. Chercher le contact et l’échange
Généralement, les regards francs mettent mal à l’aise la personne qui manque de confiance. Dès que quelqu’un la regarde droit dans les yeux, elle baisse les siens ou détourne la tête. Parfois même sans contact visuel elle « sent » le regard d’autrui sur elle et cela la gêne. Cette réaction au regard d’autrui fréquente chez les personnes qui ont quelques kilos à perdre n’a rien de honteux ni d’insurmontable.
Les personnes qui manquent de confiance en elles-mêmes ont aussi bien souvent une peur panique des situations nouvelles ou imprévues et cette peur se traduit par des paroles et des gestes empreints de nervosité, de maladresse ou d’hésitation. Elles n’ont souvent qu’une seule idée en tête : fuir, se cacher, disparaître. Cela peut se produire par exemple lors d’une nouvelle rencontre, au cours d’un voyage ou bien lorsqu’elles se trouvent dans un groupe d’inconnus ou lorsqu’un incident ou un contretemps les mettent dans une situation inhabituelle ou encore tout simplement lorsqu’on sonne de manière imprévue à leur porte.
Si vous vous reconnaissez dans ce comportement, au lieu de concentrer toute votre énergie et vos pensées pour tenter de dissimuler votre nervosité, essayez au contraire de transformer cette nervosité en action : cherchez le contact visuel, allez vers les autres, parlez, posez une question … Au lieu de simuler l’aisance en vous renfermant en vous-même, essayez plutôt d’interagir avec l’environnement qui vous fait peur. En s’entraînant à établir le contact spontanément avec autrui dans la vie de tous les jours – notamment en engageant la conversation avec le voisin de pallier ou le commerçant du coin, on apprend petit à petit à se sentir plus à l’aise et plus adaptable.